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Perdre haleine, d'Anne Archet : gloire à la masturbation féminine

Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
Rattrapage du 5 mai 2020 : Combat national des livres et roman érotique

Perdre haleine, d'Anne Archet : gloire à la masturbation féminine

Érotissimo avec Caroline Allard : Perdre haleine. Phrase autoérotique

Portrait d'une jeune femme en extase. Certaines recherches tendent à prouver que le point G ne serait en fait que le prolongement du clitoris, ce qui pourrait remettre en question les croyances entourant les orgasmes dits clitoridiens ou vaginaux.
Certaines recherches tendent à prouver que le point G ne serait en fait que le prolongement du clitoris, ce qui pourrait remettre en question les croyances entourant les orgasmes dits clitoridiens ou vaginaux.PHOTO : Getty Images / mtoome

Caroline Allard, responsable du segment « Erotissimo », nous fait découvrir un livre qui se lit d'une main : Perdre haleine, d'Anne Archet. L'autrice anarchiste de Carnet écarlate et d'Amants revient en force avec un troisième roman, qui est une véritable ode à la masturbation féminine.

« C’est fantastique, […] il y en a pour tous les goûts. »

— Une citation de  Caroline Allard

Perdre haleine : phrase autoérotique, Anne Archet, Remue-ménage, 11 février 2020
Résumé de l'éditeur : Avec Perdre haleine, l’inimitable Anne Archet vous convie à une séance d’autoérotisme littéraire, une ode jubilatoire et irrévérencieuse à la masturbation féminine, de la lente montée du désir en passant par les savantes mécaniques de l’excitation, le troublant plateau des fantasmes jusqu’à la grande explosion orgasmique et sa résolution.

Entrez dans une phrase longue de 26 000 mots à lire d’une seule main et d’un seul souffle, une traversée de toutes les déclinaisons du plaisir intime, cet acte de liberté, de gratuité et d’amour-propre, où l’on n’est jamais si bien servie que par soi-même : ses doigts, ses peluches, son ameublement, son lubrifiant et ses projections intérieures les plus déraisonnables.