Quels sont les romans canadiens les plus marquants des 10 dernières années? À quelques jours de la fin de cette décennie 2010-2020, nous avons posé la question à nos fidèles auditeurs et à trois grands lecteurs : le journaliste culturel et littéraire au Devoir Dominic Tardif, l'autrice et professeure d'anglais au Collège Marianopolis Monique Polak, et la libraire et copropriétaire de la libraire L'Exèdre à Trois-Rivières Audrey Martel. Le verdict (hautement subjectif) en 10 titres.
Palmarès 2010-2020 : romans canadiens
Il pleuvait des oiseaux, de Jocelyne Saucier (XYZ, 2011)
La femme qui fuit, d’Anaïs Barbeau-Lavalette (Marchand de feuilles, 2015)
La fiancée américaine, d'Éric Dupont (Marchand de feuilles, 2012)
Pauvres petits chagrins, de Miriam Toews (Boréal, 2015), traduit de l’anglais par Paul Gagné et Lori Saint-Martin
Querelle de Roberval, de Kevin Lambert (Héliotrope, 2018)
Washington Black, d'Esi Edugyan (Liana Levi, 2019) traduit de l’anglais par Michelle Herpe-Voslinsky
L’orangeraie, de Larry Tremblay (Alto, 2013)
Dans le grand cercle du monde, de Joseph Boyden (Albin Michel, 2014) traduit de l’anglais par Michel Lederer
Prague, de Maude Veilleux (Hamac, 2016)
Un livre sur Mélanie Cabay, de François Blais (L’instant même, 2018)