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Début du contenu

Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
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Rattrapage du 5 oct. 2021 : Analyse d'Ovila et dialogue sur le racisme

Résumé

Étienne Beaulieu tente une analyse d'Ovila Pronovost, le célèbre personnage des Filles de Caleb, d'Arlette Cousture; D'emblée, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban rassurent leurs futurs lecteurs et lectrices; Les racistes n'ont jamais vu la mer est un essai qui ne pointe personne du doigt et qui ne fait aucun appel au sentiment de culpabilité, bien au contraire.

  • 13 heures 6 minutes

    Sommaire de l'émission avec Marie-Louise Arsenault

  • 13 heures 8 minutes

    Entrevue avec Stéphanie Braquehais

  • 13 heures 27 minutes

    Analyse de personnage avec Etienne Beaulieu

    Ovila Pronovost (Roy Dupuis) et Émilie Bordeleau (Marina Orsini) qui se regardent amoureusement.

    Analyse d’Ovila Pronovost, l’homme tourmenté des Filles de Caleb

    Étienne Beaulieu tente une analyse d'Ovila Pronovost, le célèbre personnage des Filles de Caleb, d'Arlette Cousture. Selon l'auteur et professeur de cinéma, cet « homme de la forêt » symbolise le vieux monde qui glisse lentement vers la modernité, avec toute la perte de repères et la confusion que ça peut impliquer. « Tout homme doit passer par la figure d'Ovila pour tenter de se comprendre lui-même », dit le chroniqueur, qui pense que le coureur des bois est l'héritier d'une longue tradition patriarcale qu'il faut repenser.
  • 13 heures 44 minutes

    Club polar avec Isabelle Richer et Norbert Spehner

  • 14 heures 6 minutes

    Sommaire de la deuxième partie de l’émission avec Marie-Louise Arsenault

  • 14 heures 8 minutes

    Entrevue avec Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban

    L'auteur et éditeur Rodney Saint-Éloi

    Les racistes n’ont jamais vu la mer : un dialogue à bâtons rompus sur le racisme

    D'emblée, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban rassurent leurs futurs lecteurs et lectrices; Les racistes n'ont jamais vu la mer est un essai qui ne pointe personne du doigt et qui ne fait aucun appel au sentiment de culpabilité, bien au contraire. C'est plutôt un regard croisé sur le racisme, un dialogue basé sur les multiples expériences des deux éditeurs à Mémoire d'encrier, une manière de « dédramatiser le mot et la chose », nous disent-ils.
  • 14 heures 29 minutes

    La vie numérique de Daphné B

  • 14 heures 43 minutes

    Entrevue avec Mario Lirette pour le livre Mario Lirette, le chat rebelle