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Plus on est de fous, plus on lit!
Audio fil du mardi 12 septembre 2017
- 13 heures 6 minutes13 h 06
Sommaire de l'émission avec Marie-Louise Arsenault
- 13 heures 9 minutes13 h 09
L'essai Enraged : Why violent Times Need Ancient Greek Myths
- 13 heures 26 minutes13 h 26
Parlons sports avec François Lemay et Alexandre Gascon
- 13 heures 46 minutes13 h 46
Top 5 de la littérature de science-fiction avec Jean-Louis Trudel
- 14 heures14 h 00
Bulletin régional - CBF
- 14 heures 6 minutes14 h 06
Sommaire de l'émission avec Marie-Louise Arsenault
- 14 heures 9 minutes14 h 09
L'actualité culturelle à Mexico avec Emmanuelle Steels
- 14 heures 21 minutes14 h 21
Entrevue avec Nicolas Mavrikakis : Deux publications sur Pierre Théberge
- 14 heures 35 minutes14 h 35
Discussion : Que doivent les écrivains à leurs parents?
Le poids familial dans le processus créatif
« Dans mon livre, ma mère est un être de papier. À partir des secrets, des mystères, des non-dits, des photos, de lettres que l'on m'a données, de morceaux d'archives, j'essaye de reconstruire quelque chose », explique Martine Delvaux. Dans son dernier roman, Blanc dehors, l'auteure et professeure de littérature s'est servie d'une vision fantasmée de sa mère pour construire son récit. Tout comme l'écrivaine et romancière Louise Dupré et l'auteure Marie-Sissi Labrèche, elle se demande si la famille influence la création et si elle modifie, en bien ou en mal, le rapport à l'écriture. Elles en discutent ensemble.« Dans mon livre, ma mère est un être de papier. À partir des secrets, des mystères, des non-dits, des photos, de lettres que …