Une école privée de Kelowna offre, depuis septembre, des cours dans la langue du peuple Syilx, le premier peuple du territoire où se trouve l'établissement. Pour ce faire, la direction a décidé d'abandonner l'enseignement du français.
Tout en célébrant les actions qui permettent de sauver une langue, les francophones devraient-ils s'inquiéter de voir que cela se fait au profit du français?
La journaliste Julie Landry s'est penchée sur cette question.