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La marche Du pain et des forêts pour faire entendre la colère des mères

Illustration de trois femmes debout, la première tient une mallette de travail, la deuxième un enfant dans ses bras et la troisième les mains sur les hanches.
« On est beaucoup, beaucoup, beaucoup à avoir besoin d'être ensemble pour se soulever », indique Anaïs Barbeau-Lavalette. PHOTO : iStock / Ponomariova_Maria
Publié le 28 avril 2022

« Ma colère est chargée d'amour », proclame l'auteure et cinéaste Anaïs Barbeau-Lavalette. En compagnie de l'écosociologue Laure Waridel, avec qui elle a créé le collectif Mères au front, et la fondatrice du mouvement Ma place au travail, Myriam Lapointe-Gagnon, elle parle de la marche organisée à Québec le 8 mai, intitulée Du pain et des forêts. Les trois militantes expliquent pour quelles raisons les mères et les pères veulent faire entendre leur voix.

« Avec Anaïs [Barbeau-Lavalette], on était habitées par la même colère, le même amour pour nos enfants et le même besoin de les protéger face à un avenir menaçant et à l’irresponsabilité de nos décideurs, qui sont informés de cette menace qui pèse sur la santé et la sécurité des générations futures, mais qui ne prennent pas de décision à la hauteur de cette urgence-là. »

— Une citation de  Laure Waridel

Vous trouverez le lien vers le site web de la marche dans les références de l’émission.