Trente ans après les faits, la tuerie de Polytechnique est enfin reconnue cette année comme un attentat antiféministe. Deux ingénieures qui y étudiaient à l'époque et deux finissantes actuelles discutent de ce qu'il reste de cet événement qui a marqué l'histoire du Québec, dans la société, dans le mouvement féministe et dans le domaine du génie.
Au micro :
- Nadine Lalande, étudiante à Polytechnique de 1986 à 1990, diplômée en génie physique
- Sophie Therrien, étudiante à Polytechnique de 1988 à 1992, diplômée en génie chimique de procédés
- Myriam Émond, étudiante finissante en génie biomédical à Polytechnique
- Catherine Gaboriault, étudiante finissante en génie mécanique à Polytechnique
Nadine Lalande et Sophie Therrien, ingénieures, parlent de l'évolution de leur profession sur le marché du travail depuis 30 ans. Les étudiantes Myriam Émond et Catherine Gaboriault font part de leurs attentes et de leurs espoirs pour leur génération.