À 8 ans, Marie-Noëlle Hébert commence à se trouver grosse. En sixième année, elle se trouve laide. À la maison, son père la traite de « grosse truie ». Dix-huit ans plus tard, elle se débarrasse de ce poids sur ses épaules en le couchant sur papier dans sa première bande dessinée, La grosse laide.
Marie-Noëlle Hébert raconte comment écrire et dessiner ses mémoires lui ont permis de se réconcilier avec ses parents.
La grosse laide, de Marie-Noëlle Hébert, Éditions XYZ, collection Quai no 5, publié le 16 octobre, 104 pages