« À travers nos statistiques au Partage Saint-François, on remarque que 80 % des personnes qu'on héberge ont des problèmes de santé mentale sévères avec, souvent, une comorbidité et des problèmes graves de toxicomanie, explique son directeur général, Sébastien Laberge. Malheureusement, ces gens-là, par eux-mêmes, ne prennent pas de bonnes décisions. »
Or, souligne-t-il, le système actuel fait en sorte que ce sont les individus eux-mêmes qui doivent décider s'ils veulent se sortir de la rue ou non. Tant qu'elles ne le font pas, ces personnes-là vont rester dans ce cycle-là
, explique-t-il.
Je n’ai pas la solution exacte, admet-il. Mais on doit avoir des discussions sur jusqu’où on peut aller collectivement pour protéger ces gens-là des problématiques qu’ils ont.