Dès le lendemain des pluies diluviennes qui ont provoqué inondations et glissements de terrain le 15 novembre, des voix se sont élevées pour dénoncer le manque de préparation du gouvernement provincial. Astrid Brousselle, directrice et professeure à l'École d'administration publique de l'Université de Victoria, revient sur ces critiques et sur la manière dont les autorités devraient composer avec les catastrophes naturelles.
« Clairement les municipalités sont les premiers répondants. Mais en Colombie-Britannique, on a beaucoup de municipalités ou de communautés autochtones en région rurale, qui sont petites et qui n’ont pas les ressources ou l’expertise pour planifier des réponses d’urgence. »
La professeure à l'École d'administration publique de l'Université de Victoria insiste sur l’importance de développer des partenariats et de partager les savoir-faire pour mieux se préparer aux défis climatiques à venir.