Certaines équipes de soccer, comme celle de Chelsea, au Royaume-Uni, adaptent leurs entraînements au cycle menstruel des athlètes, révèle Amélie Keyser-Verreault, chercheuse sur les questions de biopolitiques et associée au Laboratoire pour la progression des femmes dans le sport au Québec.
« Les applications de monitoring du cycle menstruel des femmes ont été bienvenues dans le monde sportif, principalement dans la haute performance. »
La chercheuse énumère toutefois les risques de compiler des données si précises sur le cycle menstruel de plusieurs milliers de femmes.