La carte OPUS, qui a sa place dans le portefeuille des Montréalais et des Montréalaises depuis son implantation en 2009, est un outil technologique fascinant, aux dires de Martin Trépanier, professeur titulaire à Polytechnique Montréal. Il nous parle de la technologie qui se cache derrière les autres titres de transport de la ARTM, alors que plusieurs médias rapportaient récemment des situations problématiques avec la carte OPUS et la nouvelle tarification de la Société des transports de Montréal (STM) et de l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) concernant les fameuses zones A-B-C-D.
« La carte à puce, c’est un instrument extraordinaire. C’est un micro ordinateur qu’on tient dans notre portefeuille, […] un microprocesseur avec une mémoire qui est dans la carte. »
Martin Trépanier nous explique que le lecteur envoie un champ magnétique à la carte OPUS, créant une petite induction électrique qui donne assez d’énergie pour qu’elle puisse communiquer avec le lecteur et transmettre l’information sans l’utilisation d’une batterie. Il nous parle également des technologies prisées ailleurs dans le monde, notamment aux Pays-Bas.