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L’aquamation, plus écologique que la crémation, mais…

Une représentation d'un corps immergé dans un tube.
L'aquamationPHOTO : Wikimedia Commons
Publié le 24 août 2022

L'aquamation est « la dissolution des parties organiques du corps dans une solution alcaline chaude, avec un pH très élevé », explique la chimiste Caroline Cormier. À première vue, cette pratique funéraire semble plus écologique que la crémation.

Ce processus n’est pas encore légal partout. Au Canada, il l’est au Québec, en Saskatchewan, à Terre-Neuve-et-Labrador et dans les Territoires du Nord-Ouest.

En Ontario, seule la résomation est légale. Il s'agit d'une méthode où le corps est dissous dans de l’eau sous pression et à une température de 180 °C, contrairement aux 93 °C de la crémation. À la fin de ces processus, les liquides sont remis dans le système municipal de traitement des eaux; le squelette n’est pas dissous et il est réduit en poudre.

Caroline Cormier explique pourquoi la crémation n’est pas un procédé écologique et que l’aquamation l’est davantage, mais avec une nuance. Enfin, elle aborde brièvement la prométion, une méthode technologique qu'on utilise depuis peu en Suède.

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