« Au total, 2700 tonnes de déchets seraient produites par an au Québec pour les protections menstruelles à usage unique », calcule l'analyste en cycle de vie au CIRAIG Estelle Louineau. Cette dernière précise qu'il est indéniable que la coupe menstruelle reste le produit de protection hygiénique le plus écologique. Selon la littérature scientifique, en considérant une utilisation sur 10 ans, la coupe représente moins de 5 % de l'empreinte laissée par les produits à usage unique.
D’ailleurs, l’experte révèle qu’il n’existe pas encore d’études sur l’empreinte environnementale des culottes menstruelles. Elle donne également d’autres recommandations quant à l’usage des tampons avec applicateur.