Alors que les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) étaient déjà en hausse marquée au Québec avant l'éclosion de COVID-19, il y a fort à parier que cette augmentation se poursuivra pendant la période de déconfinement. C'est du moins l'opinion de Myriam Daguzan-Bernier, journaliste et étudiante en sexologie. Elle note que ces jours-ci, la priorité des autorités publiques est loin d'être accordée à la prévention et au dépistage des ITSS, ce qu'il faudrait pourtant faire, même en ces temps de pandémie.
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Les infections transmissibles sexuellement et par le sang pourraient augmenter après la crise
