L'éclosion de fermes florales n'épargne pas le Bas-Saint-Laurent.
Ici, plutôt que de recevoir des fleurs produites ailleurs pour les revendre, on fait soi-même pousser les fleurs de la graine à la composition d'un bouquet qu'on vendra ensuite au marché public local, à côté des légumes des producteurs maraîchers.
Deux jeunes floricultrices, Maggie Beaulieu-Pelletier, de la Ferme Pastel à Grand-Métis et Catherine Brassard, de la ferme florale Les Effleurés de Rimouski, nous ont fait part de leur philosophie d'entreprise écoresponsable, inspiré du courant « slow flower » américain.
En fait, leurs histoires se ressemblent. L'une et l'autre travaillaient dans un tout autre domaine et ont décidé de risquer le tout pour le tout pour vivre leur passion agricole.
Nous en avons discuté avec elles.