Des principes psychologiques comme le biais cognitif, le biais d'optimisme et le biais de disponibilité font que l'être humain peut comprendre la menace climatique, mais qu'il ne la ressent pas. Marie-Ève Cotton, psychiatre, explique à Stéphan Bureau que l'humanité est expérientielle et myope dans son attitude devant le danger.
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L’être humain n’est pas fait pour réagir aux changements climatiques
