Une nouvelle étude confirme que la maltraitance infantile, dont sont victime de 5 à 15 % des enfants occidentaux, laisse des traces dans la structure neuronale des enfants. Les cerveaux d'individus ayant connu la maltraitance ont une gaine de myéline plus mince. Cette couche de graisse permet une meilleure connectivité entre les neurones. Marianne Desautels-Marissal, journaliste scientifique, rend compte des résultats de cette étude publiés dans Psychiatry Online (Nouvelle fenêtre).
Il est également question du secret des motifs sur les ailes des papillons.