Souvent mis de l'avant comme victime des changements climatiques, l'ours polaire se porte finalement assez bien, selon Pierre Gingras. Les trois sous-populations présentes au Québec seraient en déclin, mais le nombre de têtes au Canada serait à la hausse, tandis que la population mondiale de cette espèce serait stable. Le journaliste parle à Catherine Perrin de la difficulté de recenser ces bêtes, des effets de la chasse sur leur population et de leur capacité à parcourir quelques milliers de kilomètres en un an.
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L’ours polaire en meilleure santé qu’on le pense
