La Clinique de recours collectifs de l'Université de Windsor offre de l'information et de l'aide pour remplir les formulaires juridiques aux gens qui sont impliqués dans des recours collectifs.
Jasminka Kalajdzic est professeure agrégée à la Faculté de droit de l'Université de Windsor et directrice de la Clinique juridique de recours collectifs qui a été mise sur pied en octobre dernier. La demande pour leurs services est telle que leur équipe a reçu des fonds pour embaucher un avocat et deux étudiants en droit supplémentaire.
La professeure de droit estime que des milliers d’Ontariens à travers la province sont impliqués dans différents recours collectifs, un processus qui peut rapidement devenir solitaire, compliqué et difficile à suivre.
« Les personnes sont tellement reconnaissantes de parler à quelqu’un. Il y a quelqu’un qui les écoute et qui peut leur donner des conseils personnels. »
Elle explique que la clinique reçoit des appels de partout en Ontario. Leur initiative inspire d’ailleurs d’autres universités à travers la province qui songent à établir des cliniques similaires, selon Jasminka Kalajdzic.