« Vous êtes bien heureuse d'aller chier quand vous voulez; chiez donc tout votre chien de soûl. Nous n'en sommes pas de même ici, où je suis obligée de garder mon étron pour le soir. » Dans une lettre adressée à la duchesse Sophie de Hanovre, Élisabeth-Charlotte de Bavière se plaint de la difficulté de faire ses besoins à Fontainebleau. Pour notre plus grand bonheur, Anne Dorval et Marc Labrèche se glissent dans la peau de ces fines observatrices du quotidien pour nous lire des extraits de cette correspondance... restée dans les annales.
« Il faut n'avoir chié de sa vie pour n'avoir senti le plaisir qu'il y a de chier, car on peut dire que de toutes les nécessités à quoi la nature nous a assujettis, celle de chier est la plus agréable. »