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Début du contenu

Les éclaireurs, ICI Première.
Les éclaireurs, ICI Première.
Les éclaireurs

Audio fil du lundi 27 mai 2019

Résumé

Sommaire de l'émission avec Patrick Masbourian et les collaborateurs; Retour sur la semaine de la mobilité; Mode avec Madeleine Goubau:La science dans l'industrie de la mode; Entrevue avec Dr. Lisa Sabella, neurologiste: La sclérose en plaques; Tatouages, cheveux: Vous est-il déjà arrivé de regretter un changement physique?; Droit avec France Rivard:Percages et tatouage au travail; Billet de Véronick Raymond:La science citoyenne

  • 19 heures

    Bulletin réseau

  • 19 heures 6 minutes

    Sommaire de l'émission avec Patrick Masbourian et les collaborateurs

  • 19 heures 9 minutes

    Retour sur la semaine de la mobilité

  • 19 heures 16 minutes

    Mode avec Madeleine Goubau : La science dans l'industrie de la mode

  • 19 heures 27 minutes

    Entrevue avec Dr. Lisa Sabella, neurologiste :  La sclérose en plaques

    La sclérose en plaque touche 1 personne sur 385 au Canada.

    Sclérose en plaques : une maladie incurable, mais avec laquelle on vit mieux qu’avant

    « Il n'y a pas de cure, il n'y a pas de remède exact pour la maladie, mais il y a plusieurs médicaments qui peuvent amener un genre de rémission », dit la Dre Lisa Sabella, neurologue à l'Hôpital Charles-Lemoyne, au sujet de la sclérose en plaques. Elle précise que cette maladie neurodégénérative auto-immune, qui touche 75 000 personnes au Canada, peut être prise en charge dans de nombreux cas, car certains médicaments permettent de diminuer les symptômes et les crises associés à ses formes cycliques et progressives.
  • 19 heures 40 minutes

    Droit avec France Rivard : Percages et tatouages au travail

    Un employé arbore un tatouage.

    Tatouages et bijoux au travail : l’employeur a le dernier mot, mais il peut avoir tort

    « Oui, l'employeur peut les interdire ou les limiter, mais dans une certaine mesure », souligne Me France Rivard, avocate spécialisée en droit du travail, en parlant des directives que mettent en place certaines entreprises ou organisations pour encadrer le port de bijoux, de tatouages et de perçages au sein de leur personnel. L'employeur qui veut réglementer l'apparence physique de ses employés doit prouver que ceux qui dérogent à sa directive portent atteinte aux droits fondamentaux des autres employés, ce qui n'est pas toujours facile à démontrer, comme l'illustre la jurisprudence.
  • 19 heures 52 minutes

    Billet de Véronick Raymond : La science citoyenne