Des dizaines de chercheuses et chercheurs au Canada attendent impatiemment le déploiement du télescope spatial James Webb (JWST) afin de mettre à profit les heures d'observation qui leur ont été allouées. Gino Harel en fait un bref survol.
L’étude de l’atmosphère des exoplanètes peut permettre d’en apprendre beaucoup sur leur environnement.
Un programme d’observation canadien se donne pour mission d’utiliser l’instrumentation du JWST pour tenter d’établir notamment si certaines d’entre elles pourraient être habitables. Certaines de ces exoplanètes, par exemple, se trouvent dans le système de l’étoile Trappist-1.
Un autre groupe d’experts ciblera plutôt des amas de galaxies, avec comme objectif que ces zones d’observation dans l’espace leur permettent d’apercevoir d’autres galaxies situées encore plus loin derrière.
En tout, les projets de recherches canadiens bénéficieront de centaines d’heures d’observation avec le puissant télescope, afin d’étudier divers phénomènes astrophysiques dans l’espoir de mieux comprendre l’évolution de notre univers.