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Un agriculteur grisonnant pose pour la caméra, faisant face au soleil, devant un étang d'eau aménagé sur une ferme.
L'agriculteur Paul Caplette, de Saint-Robert, en Montérégie, a aménagé des bassins de sédimentation sur le site de sa ferme. Il participe maintenant à un projet de laboratoire vivant.PHOTO : Radio-Canada / Gino Harel
Publié le 8 octobre 2021

Des instruments de mesure scientifiques sont installés, ces jours-ci, sur les terres agricoles de Paul Caplette, en Montérégie. Cet agriculteur participe à un projet de laboratoire vivant. Gino Harel nous en parle.

Le concept des laboratoires vivants a été lancé en 2018 par Agriculture et Agroalimentaire Canada. Il vise à créer une proximité entre les chercheurs du gouvernement fédéral et les producteurs dans des travaux de recherche axés sur l’agroenvironnement. Divers autres partenaires s’y greffent également, dont l’Union des producteurs agricoles (UPA), au Québec.

Plusieurs sites de recherche agricole du genre sont déjà en activité dans de nombreuses fermes du Québec, de l’Ontario, du Manitoba et de la région atlantique.

Un appareil scientifique aux allures de gros tonneau gris, muni de boutons de commande et d'un tube, est posé sur un sol agricole.

Cet auto-échantillonneur fait partie des instruments de mesure dont se serviront les chercheurs d'Agriculture et Agroalimentaire Canada dans leurs projets de laboratoires vivants.

Radio-Canada / Gino Harel

L’exploitation agricole de Paul Caplette est d’ailleurs le théâtre de plusieurs de ces initiatives scientifiques. Un de ces projets vise à analyser l’effet de bassins de sédimentation pour intercepter et filtrer l’eau qui provient d’une partie de ses terres cultivées. Cette eau s’écoule vers des ruisseaux et rivières de la région.