Jusqu'à 15 % des femmes vivent avec l'endométriose, une maladie complexe, difficile à diagnostiquer et entraînant d'intenses douleurs chroniques. Pour la première fois, une équipe de recherche a trouvé un gène qui pourrait devenir une cible thérapeutique contre cette affection.
En injectant une molécule qui bloque l’expression du gène identifié, NPSR1, l'équipe de recherche a montré qu’on peut considérablement diminuer les symptômes de douleur chez des animaux de laboratoire. C’est la première fois qu’on parvient à diminuer les symptômes de l’endométriose en ciblant un gène lié à la maladie. Renaud Manuguerra-Gagné fait le point sur cette étude.