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Vue aérienne d'une pointe d'île aux rives érodées, en plein soleil.
Vue aérienne de l’Anse-à-Henry, un site de fouilles archéologiques de Saint-Pierre-et-Miquelon, où l'érosion fait son œuvre.PHOTO : DTAM, Saint-Pierre-et-Miquelon
Publié le 22 mai 2021

Les variations climatiques extrêmes, qui s'intensifient depuis des décennies, inquiètent de plus en plus les archéologues d'un peu partout sur la planète. Gino Harel rend compte de leurs préoccupations.

Qu’il s’agisse de l’érosion des rives à Saint-Pierre-et-Miquelon, de la fonte du pergélisol dans l’Arctique ou des fortes précipitations suivies de périodes de sécheresse en Indonésie, l’accélération de ce type de phénomènes menace plusieurs sites archéologiques dans le monde.

Les experts en constatent déjà les ravages depuis plusieurs années, dans leurs expéditions sur le terrain. Le temps presse, selon eux.

Une demi-douzaine de personnes mènent des excavations sur un site archéologique situé en bordure de mer.

Les restes d'une maison ont été excavés sur le site archéologique de Kuukpak, sur les rives du delta du fleuve Mackenzie.

Max Friesen

Année après année, des sites débordant d’histoire de nos anciennes civilisations disparaissent sans qu’on ait pu y documenter le passé. Ceux qui restent sont en proie aux tempêtes et autres phénomènes naturels accentués par les changements climatiques.

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