Le pangolin a été brusquement projeté à l'avant-scène de l'actualité quand on l'a injustement accusé d'être responsable de la transmission du SRAS-CoV-2. Mais cet animal timide et discret, le seul mammifère pourvu d'écailles, est traqué partout sur la planète pour ses prétendues vertus dans certaines médecines traditionnelles. Résultat : il s'agit de l'animal le plus braconné du monde, comme l'explique le chercheur Philippe Gaubert à Sophie-Andrée Blondin.
Début du contenu
Le pangolin : mal aimé, braconné, menacé
