Est-ce que quelqu'un qui donnerait ses cheveux pour qu'on en fasse une perruque pourrait, si la personne qui porte la perruque commet un crime, être accusée? À supposer que l'on trouve quelques cheveux sur les lieux, l'ADN qui s'y trouve mènerait-il à une grave erreur sur la personne? Voilà l'intrigante question à laquelle Marie-Pier Elie tente de répondre pour satisfaire la curiosité d'une auditrice.
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Une perruque peut-elle nous faire passer pour un criminel?
