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Quand les artistes se munissent de microscopes

Le matin du Nord, Ici premiere
Rattrapage du vendredi 1 mai 2020

Quand les artistes se munissent de microscopes

L'artiste visuelle Julie Laurin et son projet «A tiny World»

Plan rapproché d'un créature microscopique.
Les tardigrades sont parmi les créatures microscopiques répertoriées par Julie Laurin dans le cadre de son projet A Tiny World. PHOTO : Julie Laurin
Le matin du Nord, Ici premiere
Le matin du NordPublié le 1 mai 2020

L'artiste visuelle Julie Laurin travaille depuis quelque temps avec des modèles bien particuliers : les créatures microscopiques.

L’artiste multidisciplinaire originaire de Chelmsford, dans le Grand Sudbury, s’intéresse à l’univers microscopique depuis l’automne dernier. Elle trace son intérêt pour la science à une période de plusieurs mois où elle n’était pas en mesure de marcher.

Comme elle côtoyait le milieu de la santé, un milieu bien informé par la science, elle s’est intéressée davantage aux phénomènes naturels qui l’entourent. Après avoir fait la lecture d’un livre sur le monde invisible des créatures microscopiques, elle a fait l’achat d’un premier microscope, relativement abordable.

« C’est là que j’ai découvert qu’il y a tout un univers autour de nous qu’on ne voit pas avec nos yeux. »

— Une citation de  Julie Laurin

Le projet A Tiny World

L’exploration de ce monde microscopique fait désormais l’objet d’un nouveau projet pour Julie Laurin, projet qu’elle nomme A Tiny World (Un tout petit monde).

Sur une variété de plateformes numériques, dont Facebook, Instagram et Twitch, Julie Laurin invite les internautes à des séances de webdiffusion d’environ une heure et demie où elle offre des visites commentées des univers qu’elle découvre sous le microscope.

La communauté qui suit les webdiffusions de Julie Laurin a une affection particulière pour les tardigrades. D’une résilience étonnante, elles sont parmi les seules créatures vivantes capables de survivre dans le vacuum de l’espace. Julie Laurin en a trouvé plusieurs centaines dans l’eau qui se ramasse sur son balcon.

L'entrevue avec Julie Laurin a été présentée en deux parties. Pour écouter chacune de celles-ci, veuillez suivre les liens ci-dessous.

Partie 1
Partie 2