Il y a cinq ans, les Aldiri s'établissaient à Saint-Hyacinthe, fuyant le conflit qui ravage leur pays natal depuis maintenant une décennie. Quand le journaliste René Saint-Louis les avait rencontrés, en 2016, ils ne parlaient pas un mot de français. Aujourd'hui, Abdallah Aldiri, sa femme, Fatma, et les plus vieux de leurs sept enfants ont pu lui raconter, dans la langue de Molière, leurs souvenirs de la guerre.
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« J’ai failli mourir ce jour-là » : les souvenirs d’une famille qui a fui la guerre en Syrie
