La disparition de la joueuse de tennis chinoise Peng Shuai après qu'elle a dénoncé l'ancien vice-premier ministre sur le réseau social Weibo continue de semer l'inquiétude partout dans le monde. L'ancien ambassadeur du Canada en Chine, Guy St-Jacques, s'inquiète lui aussi du sort de la joueuse, et dit « admirer » la décision de la Women's Tennis Association (WTA) de se retirer de la Chine si aucune enquête n'est menée.
M. St-Jacques estime aussi que les gouvernements étrangers devraient se positionner, sans quoi ce serait acquiescer à ce que la Chine fait, et ça lui permettrait de répéter de tels comportements.