Le ministre de la Santé a affirmé avoir pris la « moins pire des décisions », en n'obligeant plus le personnel de la santé à être adéquatement vacciné le 15 novembre prochain. Pour le président du Conseil pour la protection des malades, Paul Brunet, la décision de Christian Dubé est compréhensible puisque les hôpitaux risquaient des ruptures de services. Il avoue cependant trouver la situation regrettable.
« C'est un peu triste qu'on soit aussi mal pris, [au point] de devoir garder des gens qui ne sont pas vaccinés au sein d'établissements où on devrait se sentir en sécurité. »