Même si les plans d'eau appartiennent à l'État, les berges qui les entourent sont privatisables... et bien souvent privatisées. Cela rend ces plans d'eau de moins en moins accessibles pour la population québécoise, puisqu'il faut bien souvent accéder à la propriété privée pour profiter d'une propriété publique. Le directeur général de la Fondation Rivières, André Bélanger, croit qu'il y a un grand débat public à tenir à ce sujet : « À partir du moment où l'on va accepter que le lac peut être partageable et partagé, je pense qu'on pourra faire des pas dans cette direction-là. »
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