Le documentaire La parfaite victime, réalisé par les journalistes Monic Néron et Émilie Perreault, fait grandement réagir après sa première médiatique. Parmi les données et chiffres qui y sont avancés, on relate que ce sont 18 % seulement des enquêtes du SPVM en matière d'agression sexuelle qui mènent à des accusations. Or, la procureure en chef adjointe au bureau de Montréal du DPCP, Rachelle Pitre, affirme ne pas comprendre d'où provient cette statistique. « Je ne peux pas demeurer silencieuse sur le fait que la prémisse du fameux 18 % dont on fait beaucoup état dans le film et qui est véhiculée actuellement sur toutes les tribunes est erronée », soutient-elle.
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La parfaite victime, un documentaire accueilli avec « stupéfaction » au DPCP
