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La parfaite victime, un documentaire accueilli avec « stupéfaction » au DPCP

Un homme vêtu d'une toge met sa main sur la bouche d'une femme comme pour l'empêcher de parler.
L'affiche du documentaire « La parfaite victime », de Monic Néron et Émilie PerreaultPHOTO : Les Films Séville
Publié le 30 juin 2021

Le documentaire La parfaite victime, réalisé par les journalistes Monic Néron et Émilie Perreault, fait grandement réagir après sa première médiatique. Parmi les données et chiffres qui y sont avancés, on relate que ce sont 18 % seulement des enquêtes du SPVM en matière d'agression sexuelle qui mènent à des accusations. Or, la procureure en chef adjointe au bureau de Montréal du DPCP, Rachelle Pitre, affirme ne pas comprendre d'où provient cette statistique. « Je ne peux pas demeurer silencieuse sur le fait que la prémisse du fameux 18 % dont on fait beaucoup état dans le film et qui est véhiculée actuellement sur toutes les tribunes est erronée », soutient-elle.