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Don d’organes : compenser les pertes financières des donneurs vivants

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Rattrapage du 20 mai 2022 : Planter ses légumes, et prix de l’essence

Don d’organes : compenser les pertes financières des donneurs vivants

Hélène Mercier, la journaliste cambrioleuse : Don vivant en Nouvelle-Zélande

Gros plan sur une personne qui tient deux reins en papier dans ses mains.
Il est possible de faire un don de rein de son vivant.PHOTO : iStock / Phira Phonruewiangphing
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Le 15-18Publié le 20 mai 2022

Depuis 2017, en Nouvelle-Zélande, les personnes qui donnent un organe de leur vivant sont dédommagées à 100 % pour leur perte de salaire engendrée par l'opération. Les dons vivants ont triplé depuis ce temps et représentent désormais la moitié des dons d'organes faits en Nouvelle-Zélande. Au Québec aussi, il existe un tel programme, mais il ne couvre que partiellement les pertes financières subies par les donneurs. La journaliste Hélène Mercier a tenté de savoir si une bonification du programme québécois permettrait d'augmenter les dons d'organes des vivants, dont les greffes ont un taux de réussite plus élevé que celui des greffes d'organes prélevés à la suite d'un décès.

Chaque vendredi, Hélène Mercier, la journaliste cambrioleuse, nous présente une initiative intéressante adoptée ailleurs dans le monde en se demandant si cette dernière peut être importée à Montréal. Vous avez une suggestion à lui faire? Écrivez-nous : le1518@radio-canada.ca.