Malgré sa déficience visuelle, Debbie LeBlanc Kilpatrick continue de créer. L'artiste visuelle adapte sa technique et son art dans le but de nourrir une profonde passion pour la peinture. Elle a même réalisé un rêve de longue date, soit celui d'ouvrir un studio et une galerie.
Il y a 12 ans, Debbie LeBlanc Kilpatrick reçoit un diagnostic de dystrophie maculaire. Depuis, l’artiste doit continuellement s’adapter à sa condition visuelle.
« J’ai beaucoup de misère à voir maintenant alors mes peintures ont changé. Je ne peux pas mettre autant de détails que je pouvais avant. Mes peintures sont plus lousses, je dirais. J’aime faire de l’abstrait. »
La création est une nécessité pour l’artiste. C’est une compulsion, c’est de quoi que je dois faire. [...] l’automne et l’hiver, c’est mon temps de peinture. Je peins dans mon studio, c’est là que je suis le plus contente.