Apprendre le code morse, à se battre à main nue, à tuer en silence et à sauter en parachute... On ne parle pas du dernier Assassins Creed, mais de la formation des espions du service secret britannique durant la Deuxième Guerre mondiale, dont faisait partie Guy Biéler, un espion canadien. Guy Gendron a publié un récit biographique bien documenté sur la vie du militaire méconnu intitulé Le meilleur des hommes : l'histoire de Guy Biéler, le plus grand espion canadien.
D’origine française, Guy Biéler a déménagé au Québec afin d’y travailler comme enseignant, puis comme traducteur à la Sun Life Assurance Company. Bien qu’il lui manque un oeil, il se porte volontaire pour la Deuxième Guerre mondiale. En 1942, il est recruté par le colonel Maurice Buckmaster, chef de la section F du SOE (Special Operation Executives). Pour connaître l’histoire de Guy Biéler, Guy Gendron est allé à la rencontre de ses proches. Il rend compte, dans son ouvrage, des épreuves traversées par l’espion.
Le meilleur des hommes : l'histoire de Guy Biéler, le plus grand espion canadien, Guy Gendron, Québec Amérique.