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Début du contenu

Neuf mois d'isolement en Extrême-Arctique pour la science citoyenne

L'heure du monde sur ICI Première.
Rattrapage du 18 mai 2020 : Isolement en Arctique et réunion de l'OMS

Neuf mois d'isolement en Extrême-Arctique pour la science citoyenne

9 mois de science citoyenne en Extrême-Arctique : Entrevue avec Sunniva Sørby

Une cabane en bois devant une montagne enneigée.
Le Bamsebu, l'habitation dans laquelle résident Sunniva Sørby et Hilde Fålun Strøm durant leur expédition.PHOTO : Hearts in the Ice
L'heure du monde sur ICI Première.
L'heure du mondePublié le 18 mai 2020

Il y a neuf mois, l'ambassadrice polaire Sunniva Sørby préparait son départ pour le Bamsebu, un refuge de chasseurs isolé sur l'île norvégienne de Svalbard en Extrême-Arctique. Elle allait y vivre en isolement avec sa partenaire d'expédition, la Norvégienne Hilde Fålun Strøm, pour y observer l'évolution des changements climatiques et ses conséquences concrètes. Finalement, en raison de la COVID-19, elles ont décidé de prolonger leur séjour. Jean-Sébastien Bernatchez lui a parlé pour prendre de leurs nouvelles.

Deux femmes debout dans une habitation en bois. Elle regarde la caméra.

Les deux membres de l'équipe Hearts in the Ice, Hilde Fålun Strøm et Sunniva Sørby, à l'intérieur de leur habitation, le Bamsebu.

Hearts in the Ice

Les deux ambassadrices polaires étaient loin de s’imaginer qu’à la fin de leur isolement volontaire, ce serait le reste du monde qui serait en isolement involontaire. La situation mondiale avec la COVID-19 les a convaincues de rester plus longtemps pour assurer la collecte de données pour différents projets de science citoyenne en collaboration avec la NASA, Norsk Polarinstitutt et Scripps Oceanography, notamment.

Un ours polaire en gros plan devant une motoneige.

Un ours polaire près du Bamsebu, l'habitation dans laquelle résident Sunniva Sørby et Hilde Fålun Strøm.

Hearts in the Ice

Ce travail n’est pas sans difficulté. Les deux expéditrices ont enduré la longue nuit polaire, le froid et la solitude. Elles ont vécu la peur lorsqu’elles ont rencontré des ours polaires. Sunniva Sørby a même vu l’un de ces animaux à moins de deux mètres d’elle. Malgré ces conditions extrêmes, elle se dit pleine d’admiration pour le paysage et la nature qui l’entoure.