•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

La Nuit sur l’étang, 50 ans d’émotions

Jonction 11-17, ICI Première.
Rattrapage du vendredi 24 mars 2023

La Nuit sur l’étang, 50 ans d’émotions

La Nuit sur l'étang  :  Marcel Vaillancourt, Gino St-Jean, Pierre Paul Mongeon

Quatre hommes sur scène avec des guitares.
Serge Monette, Marcel Aymar et Robert Paquette durant un test de son avant le cinquantième anniversaire de La Nuit sur l'étang à la Place des Arts du Grand Sudbury.PHOTO : Radio-Canada / Yvon Thériault
Jonction 11-17, ICI Première.
Jonction 11-17Publié le 24 mars 2023

Les célébrations de la cinquantième édition du festival La Nuit sur l'étang commencent vendredi soir à la Place des art de Sudbury avec un grand spectacle retrouvailles. Samedi, le rendez-vous de la musique francophone se poursuit au Collège Boréal avec une série de concerts de la relève franco-ontarienne.

Le rendez-vous culturel offre des spectacles de musiciens franco-ontariens légendaires, comme Breen Leboeuf, le groupe Deux saisons, Marcel Aymar et bien d'autres.

Selon Marcel Vaillancourt, directeur des communications pour la Nuit sur l’étang, l’événement est né d’une quête identitaire francophone en 1973. Un demi-siècle plus tard, l’engouement pour une célébration identitaire demeure présent.

Il raconte que ce qui évoque le plus d’émotions, c’est la chanson thème de l’événement, Viens nous voir, interprétée par Marcel Aymar vendredi soir.

Ça va être émotif, surtout que c’est Marcel qui va le faire, dit-il.

C’est un rassemblement de musiciens et d'artistes historique, selon Gino St-Jean, membre du conseil d’administration.

Les 50 prochaines années de la Nuit

Attirer l’attention de la nouvelle génération de mélomanes francophones est un énorme défi, selon Pierre-Paul Mongeon, directeur de la Nuit sur l’étang,

« Si tu ne te bats pas, tu ne ferais plus partie de cette francophonie éventuellement. »

— Une citation de  Pierre-Paul Mongeon, directeur de la Nuit sur l’étang

Malgré ce combat, les organisateurs sont prêts à adapter leur vision, pour répondre au besoin d’une communauté francophone changeante.