L'attentat a eu lieu à Christchurch durant la prière du vendredi. Le terroriste, un Australien qui se décrit comme un fasciste blanc de la classe ouvrière, a été arrêté. L'action a été minutieusement préparée et diffusée sur les réseaux sociaux. L'homme en explique les raisons dans un manifeste de 73 pages décrivant sa radicalisation et sa volonté de s'en prendre à des musulmans. Nos sociétés prêtent-elles suffisamment attention aux extrémistes de droite qui veulent prétendument les défendre? Michel Lacombe fait le point avec ses invités.
Charlène Bourlon, journaliste indépendante
Aurélie Campana, professeure au Département de science politique de l’Université Laval et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les conflits et le terrorisme
Paul Laurier, ancien policier chargé de l'antiterrorisme à la Sureté du Québec, président-directeur général de Vigiteck et chargé de cours à l'Université de Montréal
David Morin, professeur à l’Université de Sherbrooke et codirecteur de l'Observatoire sur la radicalisation et l'extrémisme violent
Marie-Ève Carignan, professeure au Département de lettres et communications de l’Université de Sherbrooke