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Des pots sont remplis de fraises.
L'étudiante au doctorat de l'Université Laval en histoire alimentaire, Florence Gagnon-Brouillet, s'intéresse au processus de patrimonialisation de la fraise de l'île d'Orléans. PHOTO : Radio-Canada / Jean-Claude Taliana
Publié le 15 mai 2022

Qu'est-ce qui fait qu'un produit fait partie du terroir, du patrimoine alimentaire ou des deux en même temps? C'est ce qu'expliquent les chercheurs Vincent Fournier et Florence Gagnon-Brouillet à Katerine Verebely en utilisant comme exemples le vin de l'Okanagan et la fraise de l'île d'Orléans.

Le duo précise également pourquoi certains produits bien connus des consommateurs du Québec, comme le bleuet du Lac-Saint-Jean et la crevette de Matane, n’ont pas officiellement l'appellation « produit du terroir ».