En décembre dernier, un tribunal du Royaume-Uni a donné raison à la « détransitionneuse » Keira Bell et jugé que les mineurs de moins de 16 ans ne sont pas en mesure d'évaluer toutes les conséquences liées à la prise de bloqueurs de puberté qui peuvent ultimement mener à un changement de sexe. Ils ne peuvent donc pas donner un consentement libre et éclairé quant à ces traitements. Cette décision, qui a été portée en appel, remet sérieusement en cause l'approche affirmative qui s'est pourtant imposée comme la voie à suivre pour les adolescents atteints de dysphorie de genre. Le reportage de Janic Tremblay.

Rattrapage du 14 fevr. 2021 : La dysphorie de genre chez les jeunes et la déconstruction du racisme par l’éducation
Les enjeux de la dysphorie de genre chez les jeunes : Reportage de Janic Tremblay
Les mineurs peuvent-ils valablement consentir à une transition de sexe?

Désautels le dimanchePublié le 14 février 2021