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Un professeur enseigne devant une classe de personne du troisième âge.
Le professeur Benoît Melançon donne une conférence sur la chanteuse jazz Ella Fitzgerald à l’Université du troisième âge de l'Université de Sherbrooke.PHOTO : Radio-Canada / Marie-France Abastado
Publié le 30 août 2020

On dit souvent qu'il n'y a pas d'âge pour apprendre. Le succès de l'Université du troisième âge, une création de l'Université de Sherbrooke, le prouve bien. Avant la crise de la COVID-19, 12 000 étudiants de plus de 60 ans, et même 70 ans se retrouvaient en différents lieux du Québec pour le simple plaisir de parfaire leurs connaissances, ou encore pour s'initier à de nouvelles disciplines. Marie-France Abastado est allée assister à certains cours et conférences en Montérégie juste avant la pandémie.

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