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Cinq femmes en tenue de travail de vendeuse de fruits et légumes, de pharmacienne, de vendeuse de journaux, de boulangère et d'agente d'entretien des rues, portant des masques.
Des femmes au travail en Inde, en Algérie, en Italie, en Serbie et en Indonésie. Les femmes sont sur la ligne de front et subissent plus souvent les effets des crises que les hommes. Depuis le début de la crise du COVID : 55 % des décès sont des femmes, plus nombreuses que les hommes à donner des soins ou à vivre dans les résidences de personnes âgées. PHOTO : Getty Images / Punit Paranjpe/Ryad Kramdi/Miguel Medina/Vladimir Zivojinovic/Adek Berry
Publié le 7 mars 2021

Les innovations en santé et un meilleur accès aux soins ont permis aux femmes d'améliorer leur bilan de santé un peu partout sur la planète, mais il reste de nombreux combats à mener sur plusieurs fronts. Les violences de toutes sortes qu'elles vivent, psychologiques ou physiques, au travail, à la maison ou dans la rue, de même que les mutilations génitales qui toucheraient jusqu'à 140 millions de femmes de par le monde, sont encore le principal frein à leur accession à la santé. Les femmes subissent aussi davantage que les hommes les conséquences des crises de santé publique, comme la pandémie actuelle, ou celles engendrées par les changements climatiques. Entrevue avec Bilkis Vissandjée, professeure à la Faculté des sciences infirmières de l'Université de Montréal, chercheuse et spécialiste des questions de violence basées sur le genre.

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