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Tunisie, il y a 10 ans – début du printemps arabe : Entrevue avec Yvan Cliche

Un homme parle dans un microphone alors qu’il se tient au sommet d’une sculpture de la carriole de Mohamed Bouazizi (où il est écrit en arabe : « Je ne pardonne pas »).
Un homme parle dans un microphone alors qu’il se tient au sommet d’une sculpture de la carriole de Mohamed Bouazizi (où il est écrit en arabe : « Je ne pardonne pas ») sur la place qui porte son nom au centre de la ville de Sidi Bouzid en Tunisie lors des commémorations du 10e anniversaire de l’immolation de Bouazizi, le 17 décembre 2020. PHOTO : afp via getty images / FETHI BELAID
Désautels le dimanche, ICI Première.
Désautels le dimanchePublié le 20 décembre 2020

Le 17 décembre 2010, un jeune vendeur ambulant tunisien, Mohamed Bouazizi, révolté par la misère et les brimades policières, s'immolait. Ce geste de désespoir sera le point de départ d'un soulèvement généralisé qui mènera un mois plus tard le président Ben Ali à la fuite, et qui s'étendra rapidement dans d'autres pays, dont l'Égypte et la Syrie. Le Québécois Yvan Cliche travaillait alors à Tunis, au sein de la Banque africaine de développement. Il nous raconte ces quelques jours où l'histoire de la Tunisie a basculé.