C'est la question que Philippe Archambault et son équipe se sont demandé après avoir étudié les animaux vivants dans les sédiments sous les zones d'aquaculture. Ils se sont rendu compte que près des blocs de ciments au fond de l'eau qu'il y avait des espèces comme des homards qui étaient plus nombreux. Notre chroniqueuse Emilie Gagné a eu l'occasion de poser quelques questions sur cette étude à Philippe Archambault, professeur au département de biologie à la faculté des sciences et du génie de l'Université Laval.
La chronique d'Emilie

Rattrapage du mercredi 6 juillet 2022
La chronique d'Emilie
La culture des moules peut-elle avoir un impact positif sur les autres espèces?


D'Est en EstPublié le 6 juillet 2022