« Il y a beaucoup des éléments du ballroom, un genre musical de la culture populaire de la communauté queer afrodescendente que Beyoncé a utilisé pour enrichir son album », note Aïsha Vertus. Selon l'avis de la chroniqueuse, l'icône de la pop se trouve à la limite de l'appropriation culturelle, car Beyoncé reste « une femme cisgenre riche ». Elle discute en compagnie de Sarah Hébert des raisons pour lesquelles cet album reste tout de même pertinent pour beaucoup de femmes qui se sentent interpellées par la musique de Beyoncé.
Sarah Hébert et Aïsha Vertus dressent également une liste de leurs coups de cœur musicaux de l’été.