Si le roman Kukum relate l'histoire de l'arrière-grand-mère de son auteur, Michel Jean, ce dernier a donné un rôle central à une autre entité : la forêt. « Le propos du roman, c'est vraiment de raconter la cassure, la perte du mode de vie et la sédentarisation forcée », précise-t-il. Le romancier et journaliste offre quelques réflexions sur l'importance de la forêt pour lui, pour les Innus et pour tous les Québécois et Québécoises.
« Le monde est un cercle, et l'homme et la femme sont partie prenante de cet environnement-là, mais ce n'est pas un environnement qui est là pour être au service de l'homme. »