Après avoir affirmé ne pas avoir le temps d'apprendre le français, le patron d'Air Canada, Michael Rousseau, a été la cible de nombreuses critiques. Le premier ministre du Québec, François Legault, s'est indigné de l'unilinguisme affiché et assumé du président-directeur général d'Air Canada et a réclamé des excuses. Dans un communiqué publié quelques heures plus tard, le principal intéressé a fait amende honorable en s'excusant et déclarant qu'il s'engageait à améliorer son français.
Nous avons discuté de la situation avec Pascal Bérubé, député de Matane-Matapédia et porte-parole du troisième groupe d'opposition en matière de langue française.