Une étude internationale démontre que quatre dollars sur cinq insérés dans les appareils de loterie vidéo viennent des poches de 3 % des joueurs problématiques. Selon les résultats publiés en exclusivité par le journal La Presse, les revenus des machines à sous proviennent majoritairement des joueurs les plus vulnérables. Pour Sylvia Kairouz, l'une des co-auteures de l'étude, le défi est de conserver l'aspect ludique tout en protégeant les personnes à risque.
Loterie vidéo et dépendance

Audio fil du mercredi 29 mai 2019
Loterie vidéo et dépendance
Armes à feu et SNC-Lavalin


C'est encore mieux l'après-midiPublié le 29 mai 2019